26/03/2025 - Morning Mood
C’est quoi la discipline, vraiment ?
Bonjour à tous ! Il est 5h15 ce mercredi 26 mars 2025, et j’espère que vous êtes en forme, messieurs-dames. Aujourd’hui, je partage avec vous mes pensées du matin – un mélange de réflexions sur les marchés financiers, mes projets personnels et cette fameuse notion de discipline qui revient sans cesse.
Les marchés : un peu coincés, mais ça bouge
Commençons par les marchés, parce que c’est un sujet qui me trotte dans la tête. En ce moment, c’est un peu le calme plat sur les indices traditionnels. Depuis le début de la semaine, pas grand-chose à signaler. Si j’avais pris une position baissière sur le CAC 40, ça aurait été une erreur – il est sorti à la hausse, contrairement à ce que j’imaginais. On oscille entre 7 900 et 8 200 points, et je me retrouve à attendre. Acheter à 8 150 ou 8 200 ? Pas pour l’instant. J’attends une opportunité claire, parce que les polarités sont positives sur tous les indices européens – Dax, Stoxx, FTSE, IBEX, peu importe. Même chose aux États-Unis : le S&P 500 est passé de 5 727 hier à 5 750 aujourd’hui. Ça monte doucement, mais rien d’extraordinaire pour justifier une prise de position immédiate.
Sur le gold, en revanche, ça devient intéressant. Hier, on a vu un petit signal positif autour des 3 000 dollars, avec une configuration horaire qui m’a plu – un drapeau haussier. J’ai pris une position, je suis sorti avec un petit gain, et ça m’a fait plaisir. Ce n’est pas du trading parfait, mais ça reste du bricolage rentable. Les tendances baissières à court terme (horaire, 4 heures) cohabitent avec des tendances haussières à moyen et long terme. On est un peu coincés entre les deux, et c’est là que la discipline entre en jeu.
La discipline, plus forte que la motivation
Parlons-en, de cette discipline. On me demande souvent : "Comment tu fais pour tenir, pour avancer, même quand rien ne bouge ?" La réponse, c’est que la motivation, c’est bien joli, mais ça ne dure pas. Elle vient, elle part, comme une flamme qui s’éteint si on ne l’alimente pas. La discipline, elle, c’est le moteur. C’est ce qui te pousse à te lever à 5h du matin, à faire tes 5 minutes de sport ou à répondre à ce courrier administratif que tu repousses depuis des jours. Motivation ou pas, tu le fais, point.
Pour moi, c’est un mantra qui s’applique partout : dans le trading, dans mes projets, dans ma préparation pour ce semi-marathon que je me suis fixé. Depuis quatre mois, je m’entraîne quasi tous les jours. Des sorties longues, des fractionnés – ces séances où tu pousses ton corps à bout pour progresser. Ce n’est pas toujours agréable, mais c’est ça qui fait la différence. On ne devient pas meilleur en restant dans le confort. Et je ne parle pas seulement de sport : sur les marchés, attendre le bon moment au lieu de foncer tête baissée, c’est aussi de la discipline.
Mes galères et mes objectifs
Côté perso, ce matin, j’ai fait une liste. Il y a des trucs que je n’ai aucune envie de faire : gérer des comptes administratifs, envoyer des courriers, aller à la Poste, ranger ma chambre… Vous voyez le genre. Et puis il y a les projets qui avancent au ralenti, parce que j’attends les autres ou que je jongle entre trop de choses. Mais je ne lâche pas. Pourquoi ? Parce que même si ça galère, ça tient. Et partager ça avec vous, ça me motive à continuer.
Un exemple concret : ce semi-marathon. Quatre mois d’entraînement, des hauts, des bas, des douleurs aux tendons parfois. Mais au bout, il y a cette satisfaction de se dire : "Je l’ai fait." Pareil pour le trading ou les cryptos – j’ai pris des positions sur des niveaux que je juge solides en 2024, et ça a porté ses fruits. Pas à chaque fois, bien sûr, mais assez pour me conforter dans l’idée que la constance paie.
Vivre pleinement, malgré tout
Au fond, tout ça – les marchés, le sport, les projets – c’est une façon de vivre pleinement. On n’a qu’une vie, messieurs-dames. Certains diront : "Ton délire, c’est quoi ? Moi, je préfère Netflix et des chips." Et je respecte ça. Chacun ses choix. Mais pour moi, repousser ses limites, c’est ce qui donne du sens. Ça ne veut pas dire que c’est facile. On a tous nos galères – santé, argent, entourage – et on ne choisit pas tout. J’ai écouté des interviews de militaires ou de gens qui ont survécu à des trucs fous, et ça remet les choses en perspective. Eux, ils n’ont pas eu le choix, et pourtant ils ont continué. Ça force le respect.
Et vous, vous en êtes où ?
Alors voilà, ce mercredi 26 mars, je vous laisse avec une question : comment vous voulez vivre votre vie ? Moi, je choisis la discipline, même quand c’est dur, même quand les marchés sont plats ou que mes jambes me lâchent après un fractionné. Et si ça inspire ne serait-ce qu’une personne parmi vous, alors ça vaut le coup.
Merci à ceux qui me suivent, qui commentent sur X ou Apple Podcast – un clin d’œil spécial à Claude, Célestine et Diego pour vos messages. On se retrouve bientôt pour faire le point. D’ici là, bon courage à tous, et à très vite !